Nom : O'Brien
Prénom: Jake. Son véritable prénom est Jacob mais il ne le mentionne jamais.
¤ Surnom: //
Sexe:Masculin
Age: 31 ans
Rôle: Prisonnier

Caractère:

Jake, vu par le seul ami qu’il ait eu :: Nick.

« Ne vous a-t-on jamais dit de vous méfier de l’eau qui dort ? Des éléments en général en fait. Ils peuvent être bons comme mauvais. Le feu chauffe mais peut aussi brûler et détruire. L’eau peut-être maîtrisée par l’homme mais tout est à craindre lorsqu’elle se déchaîne.
Jake a comme ces éléments deux facettes. Il serait bon de ne connaître que l’homme doux et attentionné, fidèle jusqu’à la mort à ceux qu’il aime, l’ami qui vous écoute lorsque vous sentez le besoin de parler, qui sera là pour vous en toute circonstances… Mais attention cependant car l’homme cynique, calculateur, froid et déterminé n’est jamais bien loin. Si vous vous trouvez face à celui là, gare à ce que vous pourrez bien lui dire car non seulement vous ne serez pas garanti que vous trouverez l’oreille de l’ami, et en plus, il a une excellente mémoire alors le mieux que vous ayez à faire est de filtrer ce que vous lui dîtes, ceci pourrait être à tout moment utilisé contre vous.
Cet avertissement s’adresse bien entendu aux personnes ne faisant pas partie de ses « proches. » soit à peu près tout le monde désormais.
Autre chose : ne vous attendez pas de sa part à des démonstrations sentimentales – sauf peut-être avec les demoiselles qu’il séduit- car vous risqueriez d’être bien déçus. Plutôt flegmatique, il n’exprime pas ce qu’il ressent et je vous préviens tout de suite, son visage ne le trahira pas, ses traits sont presque toujours fermés. Seuls ses yeux pourraient à la rigueur traduire son état d’esprit, ses éventuels états d’âme. Lorsque vous ne le connaissez pas, vous pouvez être amenés à penser qu’il est irréprochable car il n’a jamais d’accès de colère, les crises de nerfs ne sont pas son style. Comment savoir alors s’il est en colère et s’il vaut mieux se trouver loin ? Eh bien les yeux vous dis-je. S’ils se mettent à lancer des éclairs, ce n’est jamais bon. Lorsque ce courroux se manifeste, ses intonations habituellement traînantes deviennent sèches, cassantes, glaciales. »

Physique:

Encore une fois, vu par Nick.

« Plutôt svelte et musclé, d’une carrure moyenne, on pourrait croire qu’il est un peu redoutable en combat au corps à corps. Grossière erreur. Vous voyez, lorsque je vous dis que les apparences sont trompeuses…
Bien sûr, n’exagérons rien, il ne mettrait pas à plat en deux temps trois mouvements une armoire à glace, un « gorille ». Enfin en général ces types là sont plutôt avec lui que contre lui.
Charismatique, il a un port assez altier qui lui confère une élégance presque naturelle. Lorsqu’il parle, bien que n’ayant pas une voix qui porte énormément, le silence se fait de lui-même. Il est de ceux qui n’ont pas besoin de crier pour se faire entendre.
De taille moyenne donc, il a une corpulence dans la norme pour un jeune homme de son âge. Les divers sports pratiqués dans son enfance lui ont donné une musculature relativement bien développée et lui ont apporté une endurance plutôt élevée.
Si l’on observe bien, il a de nombreuses cicatrices en divers endroits, signe de son passé tumultueux. Non, il n’était pas un enfant battu, mais la turbulence des quartiers populaires où les gangs règnent est impitoyable.
Châtain clair, ses cheveux sont perpétuellement en bataille, ce qui plaît à plus d’une de ces demoiselles. Son regard profond, gris acier, vous sonde, vous analyse sous toutes les coutures. Tentez de ne pas baisser les yeux ce serait un peu votre arrêt de mort. Sauf si bien sûr, vous étonnez par la suite notre ami Jake. »


Forces/Faiblesses:

« Je n’ai parlé à personne de ce que je considère comme mes forces et mes faiblesses. Logique pour un criminel me direz vous. Mais vous n’aurez pas tord.
La première de mes faiblesses – commençons par les choses désagréables à avouer – est peut-être le souvenir de ma sœur que je sais que je ne reverrais jamais. En fait ce n’est pas seulement ce souvenir, mais tous les sentiments qu’il réveille en moi. En somme, si l’on veut exercer une pression psychologique sur moi, c’est cette piste qu’il faut suivre.
Une autre de mes faiblesses est ma carrure. Avouez que je ne ressemble pas réellement à ces mafieux aussi larges que haut, tout en muscles qui vous mettent par terre en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. N’allez pas me faire dire ce que je n’ai pas dit, je ne suis pas non plus une crevette, je sais parfaitement tenir tête à un adversaire lorsque je me bats, mais les plus costauds que moi sont bien nombreux.
Mes forces ? Mon impassibilité. Je ne laisse jamais transparaître ce que je pense ni ce que je ressens. Je met un point d’honneur à ne pas extérioriser tout cela d’une part pour me protéger des émotions diverses et variées que toute personne qualifierait de normale et d’autre part pour déstabiliser un hypothétique petit malin qui tenterait de se servir de mes émotions contre moi. Je mets donc un point d’honneur à ne jamais montrer si j’ai peur, si j’ai mal ou autre. Ceci peut être très utile en milieu carcéral.
Sinon, je suis très pointilleux, j’aime le travail bien fait et je ne laisse rien au hasard. Enfin, je ne laissais rien au hasard. Je ne jurais que par la perfection que je voulais à tout prix atteindre ou du moins dont je voulais au maximum m’approcher. »



Phobie:

x. la pyrophobie.

Le feu me rend dingue. J’en ai vraiment une peur bleue et inexpliquée. Mes proches ne sont pas morts dans un incendie, je n’ai pas été gravement brûlé et n’ai jamais été témoin d’incendie. Alors pourquoi cette peur panique du feu ? Je ne l’ai jamais compris.


x. Bélénophobie.

Les aiguilles. Depuis tout petit je ne supporte par les piqures. Cette peur là par contre s’explique par un mauvais souvenir de prise de sang. Depuis le jour où une infirmière ayant les deux pieds dans le même sabot, deux mains gauches et tout ce qu’on voudra, m’a charcuté les bras pour trouver une veine, j’ai peur des piqures et si je dois vraiment m’en faire faire une, je prefère qu’on me bande les yeux. Puéril ? Oui c’est possible.


crimes(s) commis:

Ma spécialité est le crime contre l’Etat. En fait, je faisais partie de la mafia irlandaise. Oui je sais, peu de gens en ont connaissance, c’est ce qui faisait sa force et sa dangerosité.

x. collaboration avec des organisations terroristes.





Objets en votre possession:

x. Un carnet corné
x. Un stylo à bille noir
x. Un pendentif en forme d'étoile de David
x. Le ruban dont sa soeur se servait de bracelet.


Personnalité de l’Avatar: Gaspard Ulliel

Trois mots clés dans les règles: Machination _ Diplodocus _ Dissection
Comment avez-vous connu Exil? En surfant sur internet, voguant de partenaires en partenaires..

History of my life

CHAPITRE 1. AUX ORIGINES DU MAL
Bring me to life
x. « Softly, gently, night unfurls its splendor..»

Je naquis à Atlanta, Georgie, pas loin d’une trentaine d’années plus tôt. trente et un plus précisément. Ma famille, à lors uniquement composée de mon père, Callaghan O’Brien ouvrier minier dans le sud de la ville et de ma mère, Julya Batthyany, hongroise d’origine et exerçant la profession de nourrice pour compléter les revenus qu’apportait mon père.
Loin d’être riches, mes parents avaient acquis une modeste demeure dans les quartiers mal famés de la ville . Ils n’avaient peut-être pas un sou en poche mais ils s’aimaient et avaient toujours réussi à faire face aux difficultés. L’on aurait pu penser que c’est le début dune belle histoire. Oui… Mais non.
Je suis donc arrivé au monde par une froide nuit d’hiver infligeant à ma pauvre mère d’atroces souffrances. Heureusement, cela c’est bien terminé et la vie reprenait son cours normal. De confession juive, ma mère me donna alors le prénom de Jacob, mais aussi loin que je me souvienne je me suis toujours fait appeler Jake. Non pas par honte de mes origines mais comme une sorte de diminutif. Si tant est que mon prénom initial en eut besoin… Ce dont je doute. Enfin passons.
Deux ans après moi est arrivée une petite sœur qui fut prénommée Chloë. Ma petite princesse. En grandissant, je suis devenu comme un second père pour ma sœur, le notre étant souvent absent. Eh oui, un dur labeur que celui de mineur : parti tôt le matin rentré tard le soir…Nous sommes rapidement devenus très proches l’un de l’autre, partageant tous nos secrets, ayant l’en envers l’autre une confiance absolue et une complicité digne de jumeaux.
Je m’étais juré de la protéger, toujours. Contre les mauvais garçons qui lui voudraient du mal, contre les vices de ce monde. J’avais 9 ans à ce moment là, ma sœur et moi étions au parc municipal.


x. « Jake, tu me laisseras jamais tomber hein, dis … »
x. « T’as peur ? »
Demandai-je étonné qu’elle me pose, bien qu’implicitement, cette question.
x. « Promis ? »
x. « Bien sûr Clo.. J’serais toujours là pour toi. Je veillerai sur toi. »


Les années passaient. La famille était relativement unie.. Elle aurait pu le rester tout le temps, mais le destin en avait décidé autrement.
L’année de mes 13 ans, l’année au cours de laquelle je devais faire ma Bar Mitsvah, un drame a atteintnotre famille. Mon père, après un grave accident de travail devait rester paralysé à vie. Impossible donc pour lui d’assurer notre subsistance à tous. Autant dire que sa fierté de chef de famille en a prit un sacré coup. Compréhensible après tout car il devenait presque totalement dépendant. Ma mère a pris un autre emploi, je m’occupais de plus en plus de ma petite princesse. Mon père a peu a peu sombré dans la dépression et a fini par se suicider. Je crois que c’est quelque chose que je ne lui ai jamais pardonné. Qu’étions-nous pour lui ? Ne pouvions-nous pas le retenir ? Apparemment non. Je dus me faire à l’idée.

CHAPITRE 2. LE DEBUT DE LA FIN
Supermassive black hole
x. « Il faut lui permettre la satire et la haine :
La haine renfermée est plus dangereuse que la haine ouverte.»

Depuis mon plus jeune âge, j’ai toujours été plus observateur que bagarreur. Sans doute était-ce dû à ma carrure qui n’était pas exactement celle d’un catcheur. Intelligent et rusé, je montrai très tôt des qualités de manipulateur et savait m’imposer comme leader charismatique.
Après la mort de mon père, nous avions eu droit à une indemnité, mais tellement dérisoire. Elle correspondait à peine au tiers du salaire mensuel de mon père lorsqu’il travaillait encore, autant vous dire que ce n’était pas toujours facile…
A l’âge de 15 ans, un autre drame allait me percuter de plein fouet. C’est à cet âge là que je perdis ma mère. Se tuant à la tâche pour me fournir ainsi qu’à ma sœur, la chance de recevoir une éducation convenable, des vêtements corrects et de manger à notre faim, sacrifiant sa propre santé. Ma mère n’a jamais ménagé sa peine et tout ce qu’elle faisait, elle le faisait à fond. C’est un peu ce qui l’a tuée. Un hiver elle est tombée malade. Et malgré cela, elle n’a pas voulu consulter un médecin, je me souviens qu’elle disait toujours « ça finira bien par passer. » Peut-être, mais c’est elle qui y est passée.
Un peu avant de nous quitter, ma mère m’avait fait jurer une nouvelle fois de prendre soin de ma sœur en toutes circonstances. Elle m’avait ensuite donné un pendentif représentant une étoile de David et les derniers mots qui sont sortis de sa bouche ont été :

« N’oublies jamais.. .d’où.. tu.. viens.. »

Et ses yeux se sont fermés pour ne plus jamais percevoir la lumière du jour.

Après avoir essuyé de nombreux refus, car personne ne voulait employer un pauvre garçon inexpérimenté, je trouvai mon premier job. Pas très glorieux, mais au moins je pouvais nous nourrir ma sœur et moi. Ma petite princesse avait 13 ans, je voyais dans son regard des lumières d’espoir, celui de jours meilleurs. Croiser ce regard là me brisait le cœur car je savais qu’il faudrait un miracle pour que cet espoir soit satisfait.
Nous avons continué ainsi pendant 2 ans. A l’âge de 15 ans, ma sœur trouva elle aussi un petit boulot de serveuse dans un café. De mon côté, j’étais toujours l’aide mécano.

L’année de mes 17 ans, un soir, après le boulot, ma sœur était couchée et je prenais un peu de bon temps au bar du coin, je fis la connaissance d’un jeune homme tout à fait étrange. Il était toujours coiffé d’un chapeau à larges bord qui masquait la partie supérieure de son visage. Je crois que je n’ai jamais vu la couleur de ses yeux. Du moins pas dans les premières semaines.
Il m’a abordé d’une drôle de façon.


x. « Tu es irlandais ? »
x. « D’origine ouais. Pourquoi ? »

Je me demandai comment il avait pu le deviner mais ne me formalisai pas de ce détail… Peut-être ma question trouverait-elle une réponse par la suite.

x. « J’te connais. Tu travail chez Gallagher en tant qu’aide. Tu es le fils de Robert O’Brien. »
x. « Et alors ? »
x. « Je peux t’aider.. »

M’avait-il lancé avec un regard que je sentais être pétillant. Je me suis d’abord montré méfiant mais il avait piqué ma curiosité. Ce type m’intriguait. Il avait l’air de bien me connaître et pourtant je ne l’avais jamais vu.

x. « Pourquoi vous feriez ça ? »
x. « T’es blasé au point de ne plus croire possible une once de solidarité entre compatriotes ?
Je m’appelle Aedan. C’est tout ce que tu as besoin de savoir. J’ai un boulot pour toi. Mieux payé que ton actuel job. »

Devant mon silence, il s’impatienta.

x. « Bon fais pas la diva, tu veux gagner plus ou non ? »
x. « Ouais. »
x. « Retrouves moi dans l’ancien dépôt de munitions demain soir à 23h45. Et ne dis rien à personne. »


Puis il disparut.

Cette courte conversation m’avait laissé rêveur. « .. mieux payé ». Cette portion de phrase me trottait dans la tête, y résonnait comme le carillon de midi. L’espoir de ma Chloë allait-il enfin se réaliser ? Je payai ma consommation et rentrai chez moi, ne pouvant m’empêcher de me demander en quoi consisterait ce nouveau job. L’identité de celui qui me l’avait proposé ne m’importait même plus. Je n’ai pas pu dormir cette nuit là et je suis arrivé en retard au boulot le lendemain.
J’étais content car j’allais enfin pouvoir offrir à Chloë une vie décente. Je ne lui avais encore rien dit de cette chance qui s’offrait à nous, tant que je ne savais pas ce que c’était, mieux valait garder le secret. Le soir venu, je prétextai une sortie avec des amis pour ne pas éveiller sa curiosité. Comme chaque soirs, elle partit se coucher et je quittai la maison familiale.

Le vieux dépôt de munitions. Je me souvenais des paroles d’Aedan. Brusquement, je me mis à craindre un traquenard. Rien n’aurait été moins étonnant, la ville étant truffée de gangs se livrant une guerre sans merci, de mafias diverses et variées. Par pure précaution, je glissais une main dans la poche intérieure de ma veste pour y trouver le contact « rassurant » d’un flingue qui ne me quittait que rarement. On ne savait jamais sur qui l’on pouvait tomber à un coin de rue, particulièrement à ces heures tardives où le monde souterrain refait surface.

A l’heure dite, j’étais au lieu de rendez vous, un vieux hangar désaffecté. J’eus la surprise de trouver la porte ouverte. J’entrais donc. A peine avais-je fait deux pas qu’une voix s’éleva de nulle part et tonna :


x. « Qui va là ? »

On se serait cru dans un vieux thriller mal ficelé..

x. « O’Brien. Je viens voir Aedan. »

Puis l’homme s’avança vers moi, sa silhouette fine et élancée, sa démarche assurée mais lente, portant toujours son couvre-chef.

x. « Approche. »

Je m’exécutai. C’était incroyable, l’aura de cet homme. il imposait le respect par sa seule présence et c’est en cela, entre autre, qu’il devint mon nouveau modèle. A tord ou à raison.

x. « J’ai une mission à te confier. Mais avant, je dois m’assurer que tu es fiable et que tu n’as pas peur du danger. »


Il s’agissait là d’un test, une « période d’essai » particulièrement cruciale et que je me devais de réussir brillamment.
L’épreuve consistait à dérober à la mairie d’Atlanta, des dossiers particulièrement sensibles de lutte locale contre le terrorisme.


x. « Tu as une semaine. Rendez vous mardi même heure, même lieu. »
x. « Comment je sais que c’est pas une entourloupe ? »
x. « Tu ne me fais pas confiance ? »
x. « Si les rôles étaient inversés, vous me croiriez sur parole ? »


Grâce à l’éclairage, je pus discerner un sourire en coin sur le visage de mon interlocuteur.

x. « Tu me plais. Tu es intelligent et tu as une bonne répartie. Je suis sûr que tu feras de grandes choses. »


Soit. Mais pour le moment je devais faire vite, élaborer une stratégie et surtout agir !

CHAPITRE 3. LA DESCENTE AUX ENFERS
The end of all Hope
x.«Tes plus belles guerres, celles que l’on gagne pas.»

Bonjour! ^^
Tout d'abord, je vous souhaites la bienvenue sur le Forum. ^^
Votre fiche est réellement impressionnante, et elle sait exceptionnellement bien accrocher son lecteur. Elle révèle une plume habile et plutôt riche aussi, bref j'ai beaucoup aimé en faire la lecture. Je ne vois rien à corriger en fait, sinon que j'ai une petite question qui me taquine... Sa soeur, comment est-elle morte? Du moins si elle l'est, étant donné que dans les faiblesses, il fait mention de Clo' comme "sa défunte soeur", alors que dans l'histoire elle me semble toujours vivante... à moins que j'ai zappé un passage, si c'est le cas j'en suis désolée mais entre le procès, et la dernière lettre, je n'ai pas trouvé l'indice qui révélait sa mort... Bref, c'est la seule petite incohérence que j'aimerais voir expliquée avant de valider votre fiche. ^^

J'attendrai votre réponse donc, et mes compliments à l'écrivain. ^^
Amitiés,
MiKy

Comme ce n'était qu'un minime détail et que je vois que tu passes impatiemment pour être validé, je ne te ferai pas attendre plus longtemps.

Tu es donc Validé ^-^

T'as cellule sera donc la A-04
Quelle chance! L'ancienne cellule d'Adara! Il doit d'ailleurs y avoir encore son odeur.
Bon chemin jusqu'à ton premier sujet en ces lieux! ^-^

Si tu ne l'a pas encore lu, un message guide est accessible à Cette Adresse, vous pourrez y trouver les informations concernant ce qu'il vous est possible de faire suite à votre validation, quelques conseils relatifs au RP, etc. ^^
Pour des questions ou toutes autres informations, nos boites MP sont toujours ouvertes, alors n'hésitez surtout pas. ^^

Moui j'me suis fais jeter de ma A-04 parce que je suis trop folle

Prends-en bien soin! C'est une cellule qui me tenait à coeur *nostalgie*

Si non bienvenue ^-^

Bienvenue parmi nous^^

Cette fiche est un vrai régal à lire, si j'avais encore faim je la relirais (mais j'ai pas le temps de la dévorer à nouveau). Le titre du premier chapitre est volontaire, au fait? Car j'ai trouvé le clin d'œil amusant.

Le personnage est très profond, et ce que ça va donner en RP s'annonce intéressant^^
Amuse-toi bien au "paradis"^^